La taille et l’élagage d’un arbre sont nécessaires lorsque les contraintes l’imposent. Sécuriser, éclaircir ou réduire si nécessaire. N’hésitez pas à contacter l’entreprise d’élagage Histoire d’arbres pour bénéficier de conseils.
Les devis sont gratuits.
Une branche ne se coupe pas n’importe où, un angle précis doit être respecté afin de favoriser la cicatrisation de l’arbre, ainsi que la sélection d’un « tire sève ».
On ne taille pas de la même façon un Chêne ou Saule, ou d’une manière plus générale un résineux ou un feuillu.
Certaines interventions ne sont pas envisageables selon l’âge du sujet.
Un arbre met du temps à cicatriser, plus la coupe est grosse, plus l’arbre sera sujet aux maladies et autre agents pathogènes.
Elle consiste en la suppression du bois mort qui risquerait de gêner ou de casser. Attention, il est souvent préférable de ne pas supprimer la totalité du bois mort, celui-ci pouvant être essentiel à la mécanique de l’arbre.
Elle permet une éclaircie au cœur de l’arbre par suppression du bois mort ainsi qu’une sélection des branches à supprimer (croisements, rejets…). Cette taille doit respecter l’équilibre et l’architecture de l’arbre.
Lorsque les contraintes environnementales se font trop exigeantes, on peut être amené à « réduire » le volume de l’arbre. Cette taille est exigeante et doit être renouvelée tous les 3 à 4 ans. La réduction ne doit surtout pas être trop importante afin de maintenir un bon état sanitaire.
Extrait du Memento de l’arboriste grimpeur « le haubanage et l’étayage des arbres » :
« Tout au long de sa vie, un arbre peut subir des traumatises (d’origines humaines ou naturelles) qui peuvent causer des faiblesses mécaniques à certains endroits et présenter un risque de rupture ou d’arrachement (cas fréquent des fourches à écorce incluse).
La pose de haubans (corde creuse reliant un point solide à une structure affaiblie), associée à l’élagage de l’arbre permet de limiter le risque lié à la rupture de branches dont la résistance mécanique est affaiblie. Cette technique permet de conserver l’intégrité de l’arbre et de protéger les personnes et les biens proches (maison, veranda,etc). Même en cas de rupture, le hauban doit empêcher la chute de la branche jusqu’au sol. Cette technique a l’avantage de consolider l’arbre sans engendrer de plaies traumatisantes et sans modifier le port et le volume naturel de l’arbre.
L’haubanage peut être une alternative pour préserver un sujet ainsi que la sécurité des usagers et des infrastructures en réduisant les risques de chutes. Dans certains cas, la pose de haubans peut être précédée d’une action de taille légère. Les haubans doivent être contrôlés et entretenus dans le temps. Une inspection, au minimum, tous les deux ans et après chaque épisode de vent violent, est souhaitable. Les matériaux composant le haubanage perdent progressivement leurs propriétés initiales (résistance, élasticité). La durée de garantie des matériaux est généralement comprise entre 5 et 8 ans maximum. Les tensions doivent être contrôlées ainsi que l’étranglement des branches et le frottement. »
Sources : Bonnardot, Augustin, « le haubanage et l’étayage des arbres », novembre 2010, www.sequoi-online.com ; C. Ambiehl, A. Gourmaud, F. Salvatoni , Mémento de l’arboriste – Volume 1 – L’arboriste grimpeur, Copalme, Naturalia publications, 2010